Le commencement...

Un orage frappait la ville. Il faisait sombre deans la chambre, il était tard. Les parents de Kairi étaient couchés depuis longtemps, ils dormaient à l'étages du dessous. Kairi, elle, dormait dans le grenier amménagé en chambre. Elle était recroquevillé sous la couette, la tête sous l'oreiller. Kairi, depuis toute petite déteste les orages.Et celui- ci était particuliérement violent.Il frappait la maison avec une violence sans retenus. Kairi, eyant trop chaud, sortit la tête de son oreiller et scruta la pièce. Elle était sombre, mais ses yeux gris magnifique étaient habitués à la lumière, elle distinguait donc parfaitement le contenu de la chambre. Brusquement, un lumière eblouissante émanit de derrière la fenêre. La lumière venait de dehors. Kairi, pas très convaincu, se leva de son lit, posa un de ses pieds bronzé par terre, et avanca discrètement vers la fenêtre. Son coeur battait à la chamade. Elle, ne voulait pas allé voir, mais s'était plus fort qu'elle. Elle devait savoir ce qui produisait cette lumière intense. Kairi arriva devant la fenêtre. Elle se mit sur la pointe des pieds pour pouoir apercevoir ce qui provoquait cette lueur. Elle ne put ouvrir les yeux tellement la lumière était éblouissante. Par réflexe, elle avait mit les mains devant ses yeux. Après un grande inspiration, Kairi commença à retirer ses mians doucement en ouvrant ses yeux petits à petits. Brusquement, elle n'eu pas le temps de voir. C'était comme si elle fut prise dans un trou noir. Il eu un flash, puit un bruit assourdissant et puis elle fut embarquée, comme aspirée par la lueur. Kairi sentit son corps se secouer dans tous les sens. Elle cria mais cela ne pesait pas beaucoup face au bruit assourdissant qui venait du trou noir dans lequel elle se trouvait...

Brusquement, tous se tut, tous redevint calme. Kairi haletait en silence, seule, dans se chambre sombre. La lumière avait disparut. L'orage avait cessé. Seule remarque : Kairi était trempé jusqu'aux os. Elle resta planté là pendant quelques minutes avant de décider de se lever pour, enfin, allé changé de vetement. Elle enleva ses vétements mouillés, puis mit d'autres habits plus legeés, mais ne remit étrangement pas de pyjama. C'est en enfilant son pantalon qu'elle remarqua l'étrange bracelet à sa cheville. A y regarder de plus près, sa ressemblait à une montre. Oui ! C'était bien une montre ! Si elle possédait un objet de la sorte, elle serait quand même au courant ! Elle remarqua aussi, sur son poignet, l'étrange tatouage. Elle le fixa attentivement. Ca ressemblait à une plume. Une plume encré au noir dans sa peau. Elle frotta deçut pour l'éffacé, mais rien n'y fit, le mystérieux dessin ne se dissipa pas.
Un bruit étrange provennant de la fenêtre vint la sortir de son observation.
[color=red]" Pas encore...!"[/color], pensa-t'elle la peur de nouveau au ventre. Mais cette fois- ci, pas de lumière et pas d'orage, ce qui était plutôt rassurant étant donné les circonstances... Elle se leva et alla vérifier la fenêtre. En ce levant, elle sentit une sensation bizarre. Difficile à expliquer. Plutôt une envie. Kairi ressentait comme une envie de..."chatouiller". Très étrange. Elle avanca vers la fenêtre et là, elle vit comme un feuille volante, coincé dehors, sur le carreau. Elle se précipita pour ne pas que la feuille s'envole. Elle ouvrit la fenêtre et arrcha délicatement la feuille double du carreau, en prennant soin de ne pas la déchirer. A en voir le schéma sur la couverture, cela devait être une notice. Mais une notice de quoi. Elle examina le schéma de plus près. Cela ressemblait à... La montre quelle avait autour de la cheville.
" Cette histoire est vraiment trop étrange... Tous ces phénomènes me font vraiment flippés, là !"

Derrèire, sur la deuxième page, un texte était écrit en rouge. Kairi le lut attentivement. Il disait :

" Il y a une première chose que tu doit savoir... Tu ne peut pas te débarraser de cettre montre. Tu es prisonière maintenant. Tu as un devoir. Celle de faire régner la justice de notre manière. Cette manière est de chatouiller tes victimes. Oui, de les "chatouiller. Tu en meurt déjà d'envie ! Grâce à cette montre, tu peux figer le temps, afin de déplacer ta victime, l'installé et tous ce que tu souhaite. Après le temps reprendra quand tu le désira le temps du supplice. Puis le temps s'arrêtra de nouveau pour replacé la victime. Il reprendra son cour peu de temps après. La victime ne comprendra rien. Mais n'aura aucune preuve pour prouver se dont elle à été victime. Tous est bien qui finit bien ! Mais attention ! Si je viens à apprendre que tu as répété ce petit secret à quelqu'un d'autres, je te ferais payé ça, et bien évidement tu mourras... De plus, tu n'as le droit que d'user de ce pouvoir qu'une fois dans la journée, ça veut dire une victime par jour. Maintenant je te souhaite bonne chance et... à très bientôt je l'espère...
Le roi de la mort "

Kairi était térrifier mais en même temps tellement exité à l'idée de pouvoir exercé ce qu'elle voulait. La signature du message ne la rassurait pas vraiment. Elle lut la notice d'uttilisation jusqu'au bout. Et se leva. Elle jeta un coup d'oeil vers son réveil. 2H du matin. Elle a la temps de tester cette petite merveille...

Voila la premier parit. Le texte est un peu long et avec peu de dialogue, mais je pense qu'il est essentiel de savoir comment tous à commencer, non ? Désolé si j'ai laissé des fautes ^^ Bonne lecture =D La suite très bientot !

Assise par terre, Kairi avait exécutée les indications à la lettre.
Elle avait commencé par acctionné tous ce qu'ils fallait pour que la montre se mette en place, puis elle savait du choisir la nom de la victime, le lieu du supplice et l'heure pour pouvoir enfin commencer le supplice, ce qu'elle attendait depuis longtemps maintenant. Il eu un bruit assourdissant, un flash, puis elle s'était retrouvé au milieu d'une pièce. Une chambre pour préciser. Le temps était figé. Plus de bruit, plus de mouvements. Ca faisait un drôle d'effet mais c'était reposant. Elle avait choisit une cabane, au fin fond de la foret, assez bien isolé et en parfait état. Ca victime était là sur le lit, inactif. Il était figé par le temps. Elle le regarda. C'était un mec qu'elle avait choisit. Un grand brun aux cheveux court. Il avait les yeux vert. Il était assez mate et était très bien foutu. Kairi voulait que sa première fois soit fantastique. Ce jeune homme de moins de 20 ans avait fait nombreuse chose mal, du genre vol ou autre pas si grave mais quand même, il devait payé et elle trouva un malin plaisir à s'en charger. Elle se leva. Kairi eu l'impression d'être l'intru dans ce silence pesant. L'apesenteur faisait qu'elle flottait presque. Elle se déplaca en sautillant jusqu'a Jérémy, sa victime. Elle le déplace sans grande peine sur le lit. Elle lui noua les mains et les pieds et attacha, seulement ses pieds sur le bord du lit. Les instruments de chatouilles était là, à coter d'elle. Tous avait été prévus. L temps pouvait à présent reprendre son court. Elle se positiona corectement. Elle appuiya sur le bouton.
Brusquement, le temps reprit son cour. On pouvait entendre les bruits extérieurs. Et surtout, Jérémy se rêveilla. Il gémit au départ. Puis se releva brusquement. Se voyant ainsi attaché, Il essaya de se débattre. Ne pouvant rien contre les liens et paniqua et essaya de s'enfuir. C'est à ce moment là que j'arriva. Il me vit et prit peur.
- Qu'est-ce que je fais ?! Et.. et t'es qui toi ?!
Je posa un doigt sur sa bouche pour le faire taire et il se tut. il respirait fort.
- Ca, ça ne te regarde pas... Mais il parait que tu n'as pas été très sage ? Tous ces vols... Tu doit payé, non ?
- Hein ? Comment tu c'est et puis, j'ai rein à te dire ! Je m'en fou !
- Ah oui ?, répondis-je avec amusement. Je le regarda avec un air malicieux. Jérémy ne sembla pas de rabaisser.
- T'en pis !

Je me place sur ses hanches. Il ne comprit pas tous de suite. Mais quand je placa mes mains sur ses cotes, il ne sut quoi faire. Je frôlé ses cotes. Il se dendina et poussa un petit rire. Il comprit alors.
- Non, non, non ! Pas ça ! Tu peux pas ! Non !
Je rigola, sadiquement. Jérémy le rebelle se souméttait. J'accélra mes mouvement sur ses cotes. Il commenca à bouger dans tous les sens, en explosant de rire à chaque fois que je touchait ses cotes. Il était encore plus chatouilleux que je le pensais ! J'acctiva mes mouvements sur le bat de son ventre et sur son nombril. Il commencais a ne plus tenir. Il bougeais tellement que je ne pouvais pas le chatouillé comme il faut son haut du corps. Je m'arrêta. Il soufflais sans rien dire. Je me déplaca derrière lui. Il bougeai pour me voir. Et, comme je l'avais prédit, il se releva et se mit assi. Je me placa sous son dos. Il voulut s'allingé mes il ne put. Je fit passer ma main dans le trou entre ces bras et ses cotes et je chatouilla toute la partit comme je pouvais, avec hardeur. Il explosa de rire, poussant des cris toutes les deux secondes.
- Nannnnnnn !!! Hahahahaha !Nonononon!
Mais j'avais toujours un problème, c'est aisselles et la partit du haut se son corp me restait impossible d'acces. Je m'arrêta de nouveau. Il en pouvais déjà plus. Moi j'étais au ange. Je passa devant lui.
- Arrête..., lâcha-t-il en soupirant, j'en peux plus...!
- Dommage...
Je souris et me jetta sur lui. Il fut bris de surpris et ne comprit pas quand j'attrappa ses bras pour les mettre audessus de sa tête. Dans la foulé je m'assis dessus. et me retourna. Ses bras tendus en arrière sans qu'il puisses les bouger, il était à moi. Il soufflait. Je mis mes mains au dessus de son cou et bougea mes doigts.
- Nann ! non non ! Pitier !
- Pitier ! Pitier !, répétais-je moqueuse.
Puis mes doigts allères titillé son cou. Il rentra son cou dans ses épaules, gémissant. Je desendit mes ongles tout en parcourant son coprs et je commenca a appuyé ses cotes. Il rit au éclates, s'étouffant tellement il rigolait. Son rire était aigus et doux. Je fis de long allé retour de ses cotes à ses aisselles, m'arrêtant sur ses aisselles pour les chatouiller sans relache. Jérémy était hystérique. Pendant un quart d'heure de me focalisa sur le haut je son corps. Il cria, bougeait dans tous les sens.
- Nannnnnn !!!!!! HAHAHAHAHAHa !! Stopppp ! Putain !!!!! Hahhahaha...!
Je m'arrêta. Il respiarait tellement fort et son corps se soulevais a chaque inspiration.
Je pris les deux cordes et lia ses deux mains aux dessus de sa tête, aux barreaux du lit. Je sauta du lit. Il me regarda descendre. Je m'arrêta sur ces pieds.en passant devant je les toucha, et Jérémy fit un bond. Je ne les avait que éffleué. Quand je commenca a mettre de l'huiles sur mes mains, il dit :

Je m'empara de ses deux pieds ttché au barreaux du lit. Il passa mes mains en le massant partout avec l'huile.
- Il va falloir payé pour ce que tu as fait...,Dis-je en le massant pendant 5 minutes, il se calma. Puis doucement, alors que je faisait des allé retour sur l'in de ces pieds, je commenca a y mettre les ongles. il fut surprit et cria.
- NAN !!!
Je recommenca de plus en plus vite. sans m'arrêté et chatouillant ardement ça plante de pied. Il hurlais beaucoup plus fort que tous a l'heure. Bougeau dans tous les sens. Je m'empara de ses deux pieds et d'une brosse. Je m'assis sur ses tibias. Je passa sans repos la brosse de haut en bas sur ces plantes sans m'arrêter. Il était hystérque, on aurait dit un fou.
- Ouahahahaha !! Hahahaha! Nonononnnnnn !! hahahaha !!
- Gili, gili, gili !! Bah alors on s'amuse à voler ? C'est pas bien, ça ? Gili gili !
- Nonnnn !! HAHAHAHAHAHAHAHA !!
Je chatouilla ces pieds pendant plus d'une heure avec diverses objet, tous plus éfficasse les uns que les autres. Il suat à grosse goutes quand je m'arrêta enfin. Il haletait.
- Ok ! Je m'excuse pour ce que j'ai fait !!
- Bah tu vois c'était pas si compliqué !
- Tu vas me relacher maintenant ?!
- Euh... pas toute suite.
Et s'en prevenirje me jeta sur ses cuisses, la dernière partit non exploré. Mais ça n'avais pas beaucoup d'éffets. Il rigolait mais pas autant qu'avant. La fin de ce plaisir touchait à sa fin. Cela faisait plus de 3 heure que le supplice durait.
- Maintenant, Tu va gentiment rentré chez toi et tu ne vas plus jamais recommencer ce que tu as fais, sinon je reviendrais.
- Pas de soucis !!! Mais stop je t'en suplit!
Je checha ma cheville et déclencha le bouton. Il eu un bruit assourdissant et je vis pour la dernière fois le visage de Jérémy...

Jérémy se rêveilla en sursaut. Il était chez lui. Dans son lit. Il transipirait. Il ne potait plus son tee-shirt. Il avait fait un drôle de rêve. Un rêve horrible. Mais vu son état, étais- ce vraiment un rêve ? Non, il en était persuadé. Il n'avait pas rêver. Quelqun l'avait vraiment enlevé durant son someil. Il s'avait qu'il ne pourrait pas prouver ce qu'il avait vécu. Jérémy n'avait qu'une chose à faire. Il allait écouter le conseil de cette fille. Il n'allait plus jamais faire de mal, reprendre sa vie. Pour ne jamais recommencer ce qu'il avait vécu cette nuit... Il se leva de son lit, les pied nu. C'était décider aujourd'hui il allait chercher un travail !

Il était 7H. Le réveil de Kairi sonna. Elle se leva en sursaut. Elle transpirait elle aussi. Le premier geste qu'elle eu, était de regarder à sa cheville. Il y avait bien une montre. Elle n'avait pas rêver. Le cauchemar, mais en même temps le rêve fabuleux qu'elle avait fait n'était pas un rêve, c'était la réalité. Elle jetta un coup d'oeil à son pignet pour voir la plume. Elle soupira lourdement. Elle ne savait que penser. Elle était exité à l'idée de recommencer, mais en même temps elle avait peur de si qui pourrait se passer. Elle chassa les idées de sa tête. Elle se leva, pour ce préparer à allé en cour.

Kairi avala son bol de lait en deux minutes, elle était déjà en retard. Elle prit son sac en vitesse, et s'élança dans la rue. Elle n'était pas très riche, elle vivait dans le quartier pauvre de sa ville : la cité comme on l'appelait.N'importe qu'elle enfant de riche ne trouvait pas bon de s'approché des gens de son quartier et encore moins de la cité. Pour les riches, s'était un quartier malsain. Pourtant il n'y avait rien de " malsain " par ici. C'était des gens comme les autres qui s'amusait comme il pouvait. Elle courait dans sa rue où les gens criait. Elle courut rejoindre le groupe de lycéens qui avançais juste devant. Elle rejoignit Paul. Paul, un nom bien saint pour quelqun de son quartier. Paul était son meilleur ami. Il partageait tous. Faisait les conneries ensemble. Il était avec sa bande. Kairi, elle, était comme la touche féminime de cette bande. Il y avait le grande soeur de Paul aussi mais elle était plus grande et n'était pas tous le temps là. Il arriva au lycé en retard, comme d'habitude. La journée se passa comme tous les journée à l'exception de la dernière heure de sport.

En effet, dans sa classe, il y avait ce garçon. Il s'appelait Rémy. Il était un enfant riche comme la majorité des gens de sa classe. Elle et lui s'embrouillait souvent à cause de petit truck, mais ce n'était pas bien méchant. Aujourd'hui encore c'est ce qui se passa. Il s'était amusé à lui envoyé la balle dans la tête, vu que l'on faisait voley, tous en me faisant des remarques débiles sur ma bande. Je ne supporte qu'on critique ma bande. Je m'était défendu, comme d'habitude. Rémy était normal de taille. Quelques centimètres de plus que moi, les yeux marons, les cheveux blonds, la peau blanche. Il n'était pas spécialement musclé et était très facile à battre en lutte. Il m'avait tellement énervé ce jours là que je crut explosé. Le cour finit nous retournâmes tous au vestière. Et c'est là que je le vis. Rémy avait enlevé ses chaussure et ses chaussettes. Je fus comme hypnotisé par ses pieds. Il était magnifique. Des pieds très fin, avec une plante rose comme il le fallait. Il enleva son tee-shirt. Il avait un nombril ressortant. Un de ses amis passa derrière lui frollant les côtes. Il sursauta d'un coup. Personne ne fit attention, sauf moi. C'était décidé, ce soir Rémy serrait ma vctime...

Il était Plus de 3H du matin. Kairi n'avait dormit que 4H. Mais elle avait trop hâte de recommencer. Sa victime était toute choisit. Elle s'était habillé de façon à être méconnaissable. Elle n'aura qu'à camoufler sa voix et le tour est joué ! Il était temps de mettre la montre en marche. Kairi appuya sur le bouton. Aussitôt un écran sortit de la montre. Elle ne fut pas surprise, ayant déjà vécu cela la veille. Elle choisit le nom de la victime : Rémy De- Lacour, le lieu : Une cabane abandonné comme la veille, choisit les instruments de tortures, et indiqua l'heure. Puis, toucha " valider " avec son doigt. Un bruit sourd ce fit entendre, puis elle fut transporté vers le lieu de supplice. Le temps s'était arrêté et la victime était bien, là. Rémy était allongé devant elle, sans vie.

Kairi ne perdit pas une minute. Elle se leva du sol et se dirigea en sutillant vers le Corp. Elle n'eu aucun mal à le transporté, vu l'apesanteur. Elle le posa sur une chaise, attacha ses mains entre elle et l'attacha au crochet qu'elle avait placé au plafond. Elle lui attaché les pieds ensemble. Rémy pouvait bouger assez librement car Kairi aimait bien voir gigoté ses victimes. Il ne pouvait tous de même pas ce baladé. Elle lui avait enlevé son tee-shirt, il était en jean. Tous était près, elle avait mit un voila autour de sa tête afin qu'il ne la reconnaisse pas et elle avait changé de look. Habillé en provoquant, mais pas trop sexy quand même =P Elle appuya sur le bouton pour remettre le temps en marche après s'être placé derrière lui.

Le temps reprit son cour. Rémy ouvrit les yeux. Il tourna la tête dans tous les sens.
- Hé !! Tin c quoi cette merde !!
Il dit ça en essayant de détacher ses liens. Je touchai son dos, il se figea.
- Vous... Vous êtes qui vous ?!
- Mystère...
Je ne dis rien de plus, lui non plus. Je mis glissé mes mains sur ses cotes en le frôlant. Comme prévu, il se crispa en poussant un cri.
- On est chatouilleux ?, dis-je innocente.
Il ne répondit pas. Je montai mes mains vers ses aisselles, il était assit. Je commençai à mes mettre mes ongles. Je les fis glissé tendis qu'il me suppliait déjà.
- NonnnnHahahaha !
- Oh ! Si...
Et d'un coup de me mit à chatouiller ses aisselles avec férocité. Il tira sur ses liens et réussit à se mettre debout pour je ne puisse pouvoir le chatouiller.
- Tu ne veux pas commencer par là ? T'en pis !
Rémy ne comprit pas je vins dans son champ de vision. Il ne me reconnut pas.
Je descendis vers ses pieds. Il les bougeait pour ne pas que je les attrape. Mais ils étaient attachés et il ne put les bouger assez. Je les pris sans grande difficulté. Il fut obligé de s'assoir pour ne pas tomber. Je m'assis sur la chaise posé en face de lui. Je frotta mes mains contre ses pieds. Il secoua la tête en rigolant. Je n'avais même pas encore mit les ongles. Je ne tardai pas à le faire. Il explosa.
- HAHAHAHAHAHAHAHAHA !!!! Stopppppppppppppppppp !!!
Je pris une brosse à dent dans le sac, au pied le la chaise. Je l’allumai et la passa entre ses orteils. Il n'en pouvait plus, transpirant et hurlant à chaque mouvement. Je passais en même temps mes ongles de ma main libre sous ses plantes. Ce jeu dura pendant une demi- heure. Je lâchai enfin ses pieds. Il respirait comme un bœuf. Il était tous rouge. Je posai ses pieds sur la chaise. Je m’avançai près de lui. Il voulut reculer, je l'en empêcha. Rémy se leva. Je grimpai sur la chaise. Il ne pouvait plus s'assoir. La chaise était calée contre le mur. Je commençai à chatouillé le bas de son ventre avec mes doigts, appuyant partout. Il gigotait tellement que j'eu beaucoup de mal à le tenir. Je passai mes doigts à présent sur le haut de ses cuisses et ses genoux. Il gigotant, hurlant et suppliant.

Le temps passait à une vitesse fulgurante pour moi. Cela faisait déjà presque 1H que nous étions là. Je finis par me stopper. Je m'approcha de sa tête. Il haletai. Je le regarda droit dans les yeux. Mes yeux gris, bleu dans les siens. Puis s'en le quitté du regard je descendis ma main vers ma cheville. Je tatta pour trouver la montre. Puis j'appuya sur le boutton. Brusquement, moi et lui, les yeux dans les yeux, nous effaçâmes pour laisser place à la réalité...